par De Loissuny » Mar, 12 Fév 2008 02:32
Bien le bonjour messire docteur,
Avant toute chose, ne nous emballons pas… Le sieur Menvaran, quelque peu distrait par ses traits d’humour à faire mourir de rire une liche apoplexique, ne vous a indiqué que la procédure administrative et financière pour devenir adhérent de l’association. Statut qui vous donne droit, certes, à de nombreux avantages, comme pouvoir venir servir le café aux maîtres de jeu, remplir le bol de cacahuètes et autres m&m’s des joueurs et, si le temps est beau de sortir le chien de la GKJDR, un magnifique Rat-Ogre mutant de deux mètres de haut, très sympathique et baveux. Cachez votre joie, je vous prie, nous sommes entre gens décents.
Il a juste omis de vous parler des épreuves qui feront de vous un véritable membre à part entière de la mythique GKJDR Team. Rassurez-vous, elles seront d’une aisance savoureuse pour quelqu’un d’aussi prudent, instruit et enjoué que vous :
En premier lieu, vous devrez ramener une simple épée dédicacée à mon nom (oui, mon esprit d’abnégation prendra décidément toujours le dessus !) par le Roi Athur – Astier ;
Ensuite, vous irez vous repentir de vos fautes (si, si… ne niez pas, nous savons déjà tout de vos sinistres exactions médico-paranoïaques) sur la tombe cachée de Teach (pardon, capitaine Teach) le bien nommé ;
Pour terminer, la dernière épreuve sera juste de trouver assez de photos compromettantes pour pouvoir faire chant… hum… pour décider un certain sieur Volaris de continuer sa quête admirable de l’imaginaire.
Simple, je vous l’accorde, mais je vais quand même vous donner un indice : quand vous rencontrerez un petit vieux mystérieux (oui, pléonasme : ça fait toujours mystérieux un vieux !), si vous ne réussissez pas à comprendre un traître mot de ce qu’il éructera, vous aurez droit de vous en sortir à l’aide la fameuse botte secrète, dite « botte de Kroc » !
Sur ce, bienvenue,
Ludiquement,
Monsieur De Loissuny.
Le rêve est ma vie. La mort me suit mais jamais ne me réveille car les dieux bercent mes songes et les muses embrassent mes chimères.